3 Le Shemsu Maùt Grégoire Biyogo. . -Formé aux Universités de Paris IV de Paris I et aux HESS, il obtiendra une thÚse de Poétique et de Sciences Humaines à la Sorbonne, diplÎmé de science politique, puis une HDR en Epistémologie des Sciences Humaines à Paris XII, et une autre HDR à Paris VIII en logique et histoire de la
1) Cheikh Anta Diop, The African Origin of Civilization, edited and translated by Mercer Cook, Lawrence Hill Books, Chicago 1974. The Great Sphinx had a negro head: diop1.jpg. King Narmer, long regarded as the first Pharaoh - with negro features: diop5.jpg. Pharaohs Zoser and Cheops: diop6-7.jpg. Pharaohs Mycerinus and Mentuhotep I: diop8-9.jpg
INTELLECTUELet humaniste sĂ©nĂ©galais disparu en 1986, Cheikh Anta Diop fut lâhomme de lâintĂ©gritĂ© morale et du refus des compromissions. Dans un contexte de marginalisation accĂ©lĂ©rĂ©e du continent, ses travaux, qui marquĂšrent le retour de la conscience historique de lâAfrique, appellent Ă la permanence du combat contre les
Dansson récent ouvrage Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx, Théophile Obenga montre magistralement en quoi consiste l'originalité et la nouveauté de la problématique historique africaine ouverte et développée par Cheikh Anta Diop : "En refusant le schéma hégélien de la lecture de l'histoire humaine, Cheikh Anta Diop s'est
Offrede formation. L'UCAD est composé d'établissements d'enseignement supérieur de recherche répartis en facultés, écoles supérieures, instituts d'université, écoles doctorales ainsi que l'Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires qui dépend scientifiquement de l'Université. Consulter le catalogue.
1mpR. Une malencontreuse erreur de saisie nous a fait Ă©crire dans le titre du prĂ©sent article dans notre prĂ©cĂ©dente parution N°139 du Vendredi 12 octobre 2018 ParentĂ© linguistique gĂ©nĂ©rique» au lieu de ParentĂ© linguistique gĂ©nĂ©tique». Les lecteurs voudront bien nous en excuser. La RĂ©daction PARENTE LINGUISTIQUE GENETIQUE ET UNITE AFRICAINE La question peut se poser Ă prĂ©sent que faire de la parentĂ© linguistique gĂ©nĂ©tique ? Ici, on sâintĂ©resse, plutĂŽt, aux enseignements politiques quâon peut tirer du ânĂ©gro-africainâ en tant que groupe linguistique. Ces enseignements sont dĂ©veloppĂ©s, bien souvent, dans les travaux des Professeurs Cheikh Anta et OBENGA. Le sentiment, la preuve et lâarme de lâunitĂ© linguistique de lâAfrique et de la parentĂ© linguistique gĂ©nĂ©tique aident Ă combattre le rĂ©gionalisme et le micronalisme, donnent la dimension diachronique indispensable Ă toute renaissance culturelle et linguistique et constituent un argument scientifique irrĂ©fragable. Un argument scientifique irrĂ©fragable Ferdinand de SAUSSURE citĂ© par OBENGA 1978 65 et NGOM 1993 30 disait au sujet des Etrusques et des Latins âSi lâon cherche ce quâils ont de commun, dans lâespoir de les ramener Ă une mĂȘme origine, on peut faire appel Ă tout ce que ces peuples ont laissĂ© monuments, rites religieux, institutions politiques etc. Mais on nâarrivera jamais Ă la certitude que donne immĂ©diatement la langueâ. La langue et la linguistique sont, donc, des sources auxiliaires de la recherche. Mais, en mĂȘme temps, elles constituent de maniĂšre intrinsĂšque un argument irremplaçable et suffisant dans tout rapprochement entre peuples et cultures. La dimension diachronique de la renaissance culturelle, scientifique et linguistique de lâAfrique noire Dans le renforcement de la personnalitĂ© culturelle africaine, et partant de lâidentitĂ© culturelle des africains, Cheikh Anta estimait âquâil serait difficile de dire, entre le facteur historique et le facteur linguistique, lequel des deux est le plus importantâ1981 275. A lâappui de cela, il cite Montesquieu âTant quâun Peuple vaincu nâa pas perdu sa langue, il peut garder lâespoirâŠâ Soulignant, ainsi, que pour lui, la âlangue est lâunique dĂ©nominateur commun, le trait dâidentitĂ© culturelle par excellenceâ. 1981 . La retombĂ©e principale de lâintroduction de la dimension diachronique dans les recherches scientifiques et techniques africaines, voire africanistes, par le canal de lâĂ©tablissement de la parentĂ© linguistique gĂ©nĂ©tique est âle dĂ©verrouillage de la pensĂ©e scientifiqueâ elle-mĂȘme DIOP, 1975 154-223. En effet, parlant du Colloque international du Caire, le professeur DIOP a Ă©crit âil a permis dâintroduire la dimension historique dans les Ă©tudes linguistiques africaines ainsi que le confirme notreâŠouvrage intitulĂ© ParentĂ© gĂ©nĂ©tique de lâĂ©gyptien pharaonique et les langues africaines. Maintenant seulement un vĂ©ritable corps de sciences humaines africaines peut naĂźtre et se dĂ©velopper sur sa propre base historique quâil sâagisse de lâhistoire de la linguistique, de divers arts, de la pensĂ©e philosophique, religieuse etc. Maintenant seulement, les Ă©tudes diachroniques sont possibles en linguistique africaineâ 1996 25. Dans le cas prĂ©cis de la linguistique appliquĂ©e, et plus particuliĂšrement de la politique linguistique, en direction de lâunitĂ© africaine, la ParentĂ© linguistique gĂ©nĂ©tique permet a âla constitution et lâenseignement desâ AntiquitĂ©s classiques africaines â Ă base dâĂ©gyptien pharaonique â DIOP, 1990 39. b LâĂ©tablissement des lois de passage dâune langue africaine Ă une autre DIOP, 1960 17. c Lâenrichissement dâune langue Ă partir des racines Ă©gyptiennes ou dâune toute autre langue africaine DIOP, 1970 418. d Lâassimilation linguistique dâun africain par le biais des langues internationales africaines de culture quelconque, sans lâaliĂ©nation culturelle provoquĂ©e par des langues dâautres familles linguistiques DIOP, 1960 25. La lutte contre le rĂ©gionalisme et le micronalisme Cheikh Anta estimait que lâune des solutions, dont, dispose lâAfrique pour lutter contre âles barriĂšres ethniquesâ est la dĂ©monstration et la vulgarisation de la parentĂ© culturelle et linguistique existant entre les peuples africains. Il Ă©crivait, en effet, âEn dĂ©montrant dâune façon indiscutable la parentĂ© des SĂ©vĂšres, des walafs, des saras peuples des ânĂ©gresses Ă plateauâ, des sarakolĂ©s, des Toucouleurs, des Peuls, des laobĂ©s, je rends, dĂ©sormais, ridicule tout prĂ©jugĂ© ethnique entre les ressortissants conscients de ces diffĂ©rents groupements. Ce principe doit ĂȘtre Ă©tendu Ă toute lâAfrique par nos frĂšres des autres rĂ©gionsâ DIOP, 1990 52. Cette idĂ©e avait Ă©tĂ© formulĂ©e et systĂ©matisĂ©e en 1954. En effet, parlant de la sĂ©lection des langues vĂ©hiculaires africaines DIOP, 1960 20-29, cheikh Anta a soutenu que âUne telle tentative peut se heurter Ă un Ă©cueil psychologique la susceptibilitĂ© rĂ©gionale des minoritĂ©s bilingues ou non⊠cette susceptibilitĂ© est renforcĂ© par lâidĂ©e que la minoritĂ© en question est Ă©trangĂšre ethniquement par rapport Ă la masse au sein de laquelle elle se trouveâ. Alors âune Ă©tude ethnologique et linguistique appropriĂ©e, rĂ©vĂ©lant une parentĂ© insoupçonnĂ©e entre les groupements en prĂ©sence, revĂȘt une importance politique et sociale en ce sens quâelle contribue Ă aplanir les difficultĂ©s qui sâopposent Ă la rĂ©alisation de lâunitĂ© linguistiqueâ 1954 258. La consĂ©quence logique de cela pour un â africain conscient â câest quâil â doit se dĂ©gager de tout prĂ©jugĂ© ethnique et acquĂ©rir une nouvelle forme de fiertĂ©âŠla fiertĂ© dâĂȘtre africain, tant il est vrai que ces cloisons ethniques nâexistent que par notre ignorance â DIOP, 1954 321. PrĂ©venant lâaccusation dâexagĂ©ration du rĂŽle de la parentĂ© historique, culturelle et linguistique dans la rĂ©alisation d lâunitĂ© africaine, Cheikh Anta affirma ne pas exagĂ©rer ce rĂŽle et soutint, plutĂŽt, â quâon ne doit pas nĂ©gliger son importance â et quâil ânâexiste pas de clĂ© passe-partout, ni de pierre philosophale ; le secret du succĂšs rĂ©side dans lâusage judicieux et coordonnĂ© de tous les facteurs sans nĂ©gliger le moindreâ DIOP, 1954 321. EN GUISSE DE CONCLUSION Au total, la parentĂ© linguistique gĂ©nĂ©tique entre lâĂ©gyptien ancien et les langues africaines modernes est Ă©tablie, conquise et acquise. Quâen faire maintenant ? En vue de la promotion des langues nationales en Afrique, des actions sont Ă entreprendre sĂ©rieusement Ă court, moyen et long termes selon les domaines dâapplication de la linguistique. En linguistique appliquĂ©e et en politique linguistique, il faudra â RĂ©gler les problĂšmes de segmentation, dâharmonisation des orthographes et des terminologies ; â Choisir les langues transfrontaliĂšres vĂ©hiculaires et les Ă©lever au rang de langues sous rĂ©gionales et rĂ©gionales sur tous les plans. â Evaluer et harmoniser les politiques linguistiques et en constituer des banques de donnĂ©es ; â Lancer de vĂ©ritables campagnes de masse dâalphabĂ©tisation en langues nationales Ă lâĂ©chelle sous rĂ©gionale, etc. En linguistique synchronique, il faudra dĂ©velopper les savoirs endogĂšnes en matiĂšre de systĂ©matique de nos langues. Les trĂšs nombreuses lacunes des descriptions africanistes ne constitueront plus alors des obstacles Ă la promotion de ces langues. Il faudra en faire de mĂȘme pour la dialectologie et la phonologie. En matiĂšre de linguistique historique comparative, il faudra encourager la recherche en vue dâĂ©valuer les atlas linguistiques existants, en Ă©laborer lĂ oĂč il nâen existe pas, et dresser des cartes linguistiques plus pertinentes, plus prĂ©cises et plus opĂ©ratoires. La poursuite des Ă©tudes comparatives ne doit plus ĂȘtre considĂ©rĂ© comme luxueuse. Car celles-ci contribuent Ă crĂ©er, consolider et Ă©largir la conscience de lâunitĂ© linguistique, lâautre fondement indispensable de nos politiques dâintĂ©gration. Lâinterrogation prospective du nĂ©gro-africain OBENGA, 1973, ou du PalĂ©oafricain comme dit Cheik Anta 1977 constituera, donc, lâun des leviers historiques de lâunitĂ© africaine. NOTES BARRY, H. âContribution Ă lâĂ©tude de lâapport linguistique du professeur Cheikh Anta a PremiĂšre partie in le Malien Magazine n°83 du 4 fĂ©vrier 1999, b DeuxiĂšme partie in le Malien Magazine n°84 du 11 fĂ©vrier 1999, c TroisiĂšme partie in le Malien Magazine n°85 du 18 fĂ©vrier 1999, d QuatriĂšme partie in le Malien Magazine n°86 du 25 fĂ©vrier 1999, On lira avec grand profit les publications suivantes â UNESCO le peuplement de lâEgypte ancienne et le dĂ©chiffrement de lâĂ©criture mĂ©tĂ©orique-Actes du Colloque du Caire du 28 janvier au 3 fĂ©vrier 1974-UNESCO, 1978, 187p. â BARRY. H â Il y a vingt ans le Colloque du Caire⊠â les cahiers du CAEC n°4, mai 1994, â Anonyme âles vingt ans du Colloque du Caire 1974-1994â in Ankh, revue dâĂ©gyptologie et des civilisations africaines, n°3 juin 1994, â OBENGA Th Cheikh Anta DIOP, Volney et le Sphinx Contribution de Cheikh Anta DIOP, Ă lâhistographie mondiale, paris prĂ©sence Africaine/Khepera, 1996, DIOP, Ch A Nations nĂšgre et culture-Paris, prĂ©sence Africaine, 1954,390p. cet ouvrage a Ă©tĂ© depuis rééditĂ© en 1964 et en 1979. Le professeur Jean DEVISSE Ă©tait un des principaux contradicteurs du professeur DIOP voir lâarticle de Philippe DECRAENE dans le Monde du 4 Mars 1965, et la rĂ©ponse de Cheick Anta, 1967 277-278. Depuis le professeur DEVISSE a eu le temps dâĂȘtre rapporteur gĂ©nĂ©ral du Colloque du Caire. Il a, ains,i conclu son rapport Ă la page 100 âLa trĂšs minutieuse prĂ©paration des communications des professeurs Cheick Anta DIOP et OBENGA nâa pas eu, malgrĂ© les prĂ©cessions contenues dans le document de travail prĂ©paroire envoyĂ© par lâUNESCO, une contrepartie toujours Ă©gale. Il sâen suivi un rĂ©el dĂ©sĂ©quilibre dans les discutionsâ. Il a, aussi, tenu ces propos trĂšs touchants le 12 janvier 1986 moins dâun mois avant la mort de Cheikh Anta en la prĂ©sence de DIOP lui-mĂȘme ââŠil y a des chercheurs de bonne foi, et eux-lĂ ne se rallient pas forcĂ©ment dâun seul coup, ce nâest pas une reddition. Il ne sâagit pas dâune guerre ou dâune capitulation, ce qui serait de vous et de nous. Il ne sâagit pas de cela et je remercie beaucoup le professeur Cheikh Anta DIOP de mâavoir si clairement montrĂ© lâautre voieâ ESSOMBA, 1986 p88. BIBLIOGRAPHIE DES TRAVAUX LINGUISTIQUES DE CHEIKH ANTA DIOP Nations nĂšgres et culture. 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Voir aussi Joseph Marie ESOMBA textes recueillis, remis et commentĂ©s par Cheikh Anta DIOP son dernier message Ă lâAfrique et au monde Janvier 1986 Sorono Italie, MUSEAO GUISEPPPE GIANETTI, 149 p. III. CONFERENCES La nĂ©cessitĂ© dâun enseignement en langue vernaculaire*, organisĂ©e par lâassociation des Ă©tudiants africains de Paris, Paris, 6 Mercredi 6 Juillet 1949. Un enseignement est-il possible en Afrique dans la langue maternelle* ?Dakar, salle du cinĂ©ma Bataclan, Juillet 1950. NĂ©cessitĂ© et possibilitĂ© dâun enseignement dans la langue maternelle en Afrique* Saint-Louis du SĂ©nĂ©gal, 1950. Lâorigine du wolof et du Peuple qui parle cette langue* organisĂ©e par la sociĂ©tĂ© des africanistes SecrĂ©taires GĂ©nĂ©ral Marcel GRIAULE, Paris, MusĂ©e de lâhomme, Mercredi 9 Mai 1951. Y-a-t-il une unitĂ© culturelle de lâAfrique noire. ConfĂ©rence clĂŽturant les journĂ©es africaines de Rennes, sĂ©minaire organisĂ© par lâassociation des Ă©tudiants africains et lâAGER sur le thĂšme les langues vernaculaires en Afrique noire et structures sociales de lâAfrique noire en liaison avec le problĂšme des pays sous-dĂ©veloppĂ©s. Comment recrĂ©er Ă partir dâune langue, lâunitĂ© linguistique en Afrique noire* ConfĂ©rence organisĂ©e par le Centre rĂ©gional dâinformation de Diourbel SĂ©nĂ©gal, Samedi, 16 Avril 1960 voir le Bulletin du Centre dâinformation de Diourbel n°6, avril 1960. Lamminu rĂ©ew mi ak gestu* langues nationales et recherche scientifique, Samedi 28 Avril 1984, sĂ©minaire culturel de lâEcole Normale Germaine Legoff, ThiĂšs SĂ©nĂ©gal â voir le chercheur, revue scientifique de lâassociation des chercheurs sĂ©nĂ©galais, hommage Ă Cheikh Anta DIOP, Dakar n°1, 1990, pp. 13-48. Lâimportance de lâancienne Egypte pour les civilisations africaines, Paris, Centre Georges Pompidou, confĂ©rence-dĂ©bat organisĂ©e dans le cadre des âjournĂ©es des cultures africaines 2â, par lâassociation KalĂ©idoscope et le service des affaires internationales du Ministre de la culture, 7 Juin 1985 in Nomade, revue culturelle n° spĂ©cial 1-2 âla Bombeâ pp. 44-63. CONFERENCES DE PRESSE ConfĂ©rence de presse, le 10 AoĂ»t 1981, Chambre de Commerce de Dakar. ConfĂ©rence de presse, le 15 Mars 1984, le relais avenue Cheikh Anta DIOP. INTERVIEWS âLes intellectuels doivent Ă©tudier le passĂ© non pour sây complaire mais pur y puiser des leçonsâ, in la vie africaine, n°6 Mars-Avril 1960 pp. 10-11. Bulletin, CND n°5 Mai 1984 Niamey Niger, propos recueillis par Abdoulaye MAMADOU et Mamane MOUSTAPHA. pp. 10-17. âLa langue, Ă©lĂ©ment incontournable de tout dĂ©veloppement*â, propos recueillis par Tachar FAAKAREY, in le Sahel, quotidien nigĂ©rien dâinformation n°2976 du Lundi 14 Mai 1984, pp. 5-6. âLâoncle Bikâ propos recueillis par thĂ©rĂšse KEĂTA et DiouldĂ© LAYA, in Nomade, revue culturelle n° spĂ©cial Cheikh Anta DIOP, 1989, 1-2, pp. 208-231. PREFACE OBENGA ThĂ©ophile, lâAfrique dans lâantiquitĂ© Egypte pharaonique â Afrique noire, Paris, PrĂ©sence Africaine, 1973, p. IX-XII ; NB *Indique les titres uniquement consacrĂ©s Ă la langue et/ou la linguistique. Pour dâautres informations, consulter ThĂ©ophile OBENGA. Cheikh Anta DIOP, Volney et le sphinx â contribution de Cheikh Anta DIOP Ă lâhistoriographie mondiale, Paris, PrĂ©sence Africaine/Khepera, 1993, pp. 417-433. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES LIVRES FAUVELLE, LâAfrique de Cheikh Anta DIOP, Paris, Karthala, 1996, 237 p. 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Cheikh Anta Diop est nĂ© en 1923 dans le village de Thieytou, dans la rĂ©gion de Diourbel en pays Baol-Cayor, prĂšs de la ville de Bambey Ă environ 150 km de Dakar, au sein dâune famille dâorigine aristocratique wolof. Il dĂ©croche une bourse pour Ă©tudier en France en 1946, et choisit dâabord la physique et la chimie, avant de se tourner vers la philosophie et lâhistoire, avec une thĂšse consacrĂ©e Ă lâAfrique noire prĂ©coloniale et lâunitĂ© culturelle de lâAfrique noire ». Nationaliste et dĂ©fenseur dâun fĂ©dĂ©ralisme africain, il retourne au SĂ©nĂ©gal dĂšs lâindĂ©pendance en 1960, oĂč il se dĂ©die Ă enseignement, la recherche et la politique, jusquâĂ sa mort en 1986. Son pĂšre, le Jeune Massamba Sassoum Diop est dĂ©cĂ©dĂ© peu de temps aprĂšs sa naissance. Sa mĂšre, Magatte Diop, vĂ©cut jusquâen 1984. Cheikh Anta Diop Ă©pousa en 1953, Ă Paris, une Française, Louise Marie Maes, diplĂŽmĂ©e dâĂtudes supĂ©rieures en Histoire et GĂ©ographie. Quatre fils naĂźtront de cette union. De1927 Ă 1937 Ă lâĂąge de 5 ans il est envoyĂ© Ă lâĂ©cole coranique dans le fameux Daraa de Koki au cote de son grand pere, avant dâĂȘtre scolarisĂ© Ă lâĂ©cole française lâĂcole RĂ©gionale de Diourbel, dâoĂč il obtient en1937, son certificat dâĂ©tudes primaires. De 1938 Ă 1945 il va poursuivre ses Ă©tudes secondaires Ă Dakar puis Ă Saint-Louis, avant dâobtenir son BaccalaurĂ©at en 1945 En 1946, il est allĂ© Ă Paris pour sâinscrire en classe de MathĂ©matiques SupĂ©rieures. Ă lâĂ©poque, son but Ă©tait de devenir ingĂ©nieur en aĂ©ronautique. En attente de la rentrĂ©e de lâannĂ©e 1946-1947, il sâinscrit en FacultĂ© des Lettres de la Sorbonne en philosophie. Il suit, en particulier, lâenseignement de Gaston Bachelard. Ă son initiative, est créée lâAssociation des Ătudiants Africains de Paris dont le premier prĂ©sident est Cheikh Fall. Amadou Mahtar MâBow en deviendra quelques annĂ©es plus tard le prĂ©sident. En 1947, Cheikh Anta Diop va poursuivre ses Ă©tudes et ses recherches linguistiques sur le wolof et le sĂ©rĂšre, langues parlĂ©es au SĂ©nĂ©gal. Il entre en relation avec Henri Lhote le dĂ©couvreur des fresques du Tassili, au Sahara. Câest en 1948 quâil achĂšve sa licence de philosophie et sâinscrit en FacultĂ© des Sciences avant de publier sa premiĂšre Ă©tude de linguistique, Ătude linguistique ouolove â Origine de la langue et de la race valaf, dans la revue PrĂ©sence Africaine » créée par le grand homme de culture Alioune Diop en 1947, qui fondera la maison dâĂ©dition PrĂ©sence Africaine puis la SociĂ©tĂ© Africaine de Culture SAC. La mĂȘme annĂ©e, Cheikh Anta Diop publie, dans un numĂ©ro spĂ©cial de la revue Le MusĂ©e Vivant », un article intitulĂ© Quand pourra-t-on parler dâune renaissance africaine ? en partie consacrĂ© Ă la question de lâutilisation et du dĂ©veloppement des langues africaines, et dans lequel Cheikh Anta Diop propose pour la premiĂšre fois de bĂątir les humanitĂ©s africaines Ă partir de lâĂgypte ancienne. En juillet 1950, le RDA Rassemblement DĂ©mocratique Africain alors dirigĂ© par FĂ©lix HouphouĂ«t-Boigny, tout en rappelant fermement Ă la direction du RDA son devoir de ne pas faillir Ă sa mission historique celle dâune vĂ©ritable libĂ©ration du continent africain. Retour au SĂ©nĂ©gal pendant lâhivernage juillet-aoĂ»t de lâannĂ©e 1950. Il donne, Ă Dakar et Saint-Louis, plusieurs confĂ©rences dont la presse se fait lâĂ©cho â Un enseignement est-il possible en Afrique dans la langue maternelle ? », â NĂ©cessitĂ© et possibilitĂ© dâun enseignement dans la langue maternelle en Afrique », â Les fondements culturels dâune civilisation africaine moderne ». Au cours de ce mĂȘme sĂ©jour, il propose, avec des notables, dans une lettre adressĂ©e aux autoritĂ©s de lâAOF Afrique Occidentale Française, un plan de reboisement du pays afin de faire face au danger de la sĂ©cheresse. 1951 Inscription sur les registres de la facultĂ© de son sujet de thĂšse secondaire QuâĂ©taient les Ăgyptiens prĂ©dynastiques », sous la direction du professeur Marcel Griaule. Il devient le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de lâAssociation des Ătudiants du RDA AERDA, Ă Paris. En 1953 Dans le bulletin mensuel de lâAERDA, La Voix de lâAfrique noire » de mai-juin 1953, il publie lâarticle La lutte en Afrique noire ». Il quitte le secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de lâAERDA. Câest en 1956 quâil se rĂ©inscrit en thĂšse dâĂtat avec comme nouveau sujet principal Les domaines du matriarcat et du patriarcat dans lâantiquitĂ© ». Ă partir de 1956, il enseigne la physique et la chimie aux lycĂ©es Voltaire et Claude Bernard, Ă Paris en tant que maĂźtre-auxiliaire. Cheikh Anta Diop dĂ©cĂšde le 7 fĂ©vrier 1986 ; il repose, selon sa volontĂ©, Ă Caytou, auprĂšs de son grand-pĂšre le Grand Massamba Sassoum Diop, fondateur du village. Des citations cĂ©lĂšbres LâĂgypte est au reste de lâAfrique Noire ce que la GrĂšce et Rome sont Ă lâOccident. » La plĂ©nitude culturelle ne peut que rendre un peuple plus apte Ă contribuer au progrĂšs gĂ©nĂ©ral de lâhumanitĂ© et Ă se rapprocher des autres peuples en connaissance de cause. » Les idĂ©ologues qui se couvrent du manteau de la science doivent se rendre compte que lâĂšre de la supercherie, de lâescroquerie intellectuelle est dĂ©finitivement rĂ©volue, quâune page est tournĂ©e dans lâhistoire des rapports intellectuels entre les peuples. » Des controverses autour de lui Lors de la publication de son livre Nations nĂšgres et culture 1954, Cheikh Anta Diop a dĂ» faire face Ă un grand scepticisme dans le monde universitaire, en plus des critiques basĂ©es sur les prĂ©jugĂ©s racistes hĂ©ritĂ©s du colonialisme. Certains collĂšgues lui reprochent une approche multi-disciplinaire parfois chaotique, et dâautres dâĂȘtre influencĂ© dans son travail scientifique par son militantisme politique. Ce nâest quâen 1974, au cours du colloque international du Caire, que les plus grands Ă©gyptologues ont saluĂ© ses thĂ©ories visionnaires ». Elles ont depuis Ă©tĂ© acceptĂ©es en tant que vĂ©ritĂ©s scientifiques.
1 J'Ă©tudie le Coran et je suis intĂ©ressĂ© Ă connaĂźtre les dĂ©tails un peu Ă©parpillĂ©s des vies des prophĂštes qu'on y trouve. Voici le rĂ©cit de la crĂ©ation du premier couple Adam et Ăve tels qu'on le trouve dans le premier livre de la Torah la GenĂšse Vos commentaires respectueux svp et citations du Coran sont bienvenus. Le SEIGNEUR Dieu façonna lÂhomme de la poussiĂšre de la terre ; il insuffla dans ses narines un souffle de vie, et lÂhomme devint un ĂȘtre vivant. Le SEIGNEUR Dieu planta un jardin en Eden, du cĂŽtĂ© de lÂest, et il y mit lÂhomme quÂil avait façonnĂ©. Le SEIGNEUR Dieu fit pousser de la terre toutes sortes dÂarbres agrĂ©ables Ă voir et bons pour la nourriture, ainsi que lÂarbre de la vie au milieu du jardin, et lÂarbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais. Le SEIGNEUR Dieu prit lÂhomme et le plaça dans le jardin dÂEden pour le cultiver et pour le garder. Le SEIGNEUR Dieu donna cet ordre Ă lÂhomme Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de lÂarbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais, car le jour oĂč tu en mangeras, tu mourras. GenĂšse 2 L' histoire intĂ©grale est sur 2 Le SEIGNEUR Dieu dit Il n&8217;est pas bon que l&8217;homme soit seul ; je vais lui faire une aide qui sera son vis-Ă -vis. Le SEIGNEUR Dieu façonna de la terre tous les animaux de la campagne et tous les oiseaux du ciel. Il les amena vers l&8217;homme pour voir comment il les appellerait, afin que tout ĂȘtre vivant porte le nom dont l&8217;homme l&8217;appellerait. L&8217;homme appela de leurs noms toutes les bĂȘtes, les oiseaux du ciel et tous les animaux de la campagne ; mais, pour un homme, il ne trouva pas d&8217;aide qui fĂ»t son vis-Ă -vis. Alors le SEIGNEUR Dieu fit tomber une torpeur sur l&8217;homme, qui s&8217;endormit ; il prit une de ses cĂŽtes et referma la chair Ă sa place. Le SEIGNEUR Dieu forma une femme de la cĂŽte qu&8217;il avait prise Ă l&8217;homme, et il l&8217;amena vers l&8217;homme. L&8217;homme dit Cette fois c&8217;est l&8217;os de mes os, la chair de ma chair. Celle-ci, on l&8217;appellera femme », car c&8217;est de l&8217;homme qu&8217;elle a Ă©tĂ© prise. C&8217;est pourquoi l&8217;homme quittera son pĂšre et sa mĂšre et s&8217;attachera Ă sa femme, et ils deviendront une seule chair. Ils Ă©taient tous les deux nus, l&8217;homme et sa femme, et ils n&8217;en avaient pas honte. GenĂšse 2 3 Le serpent Ă©tait le plus avisĂ© de tous les animaux de la campagne que le SEIGNEUR Dieu avait faits. Il dit Ă la femme Dieu a-t-il rĂ©ellement dit Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ! » La femme dit au serpent Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de lÂarbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit Vous nÂen mangerez pas, vous nÂy toucherez pas, sinon vous mourrez ! » Alors le serpent dit Ă la femme Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Dieu le sait le jour oĂč vous en mangerez, vos yeux sÂouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent ce qui est bon ou mauvais. La femme vit que lÂarbre Ă©tait bon pour la nourriture et plaisant pour la vue, quÂil Ă©tait, cet arbre, dĂ©sirable pour le discernement. Elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna aussi Ă son mari qui Ă©tait avec elle, et il en mangea. Leurs yeux Ă tous les deux sÂouvrirent, et ils surent quÂils Ă©taient nus. Ils cousirent des feuilles de figuier pour se faire des pagnes. Alors ils entendirent le SEIGNEUR Dieu qui parcourait le jardin avec la brise du soir. LÂhomme et sa femme allĂšrent se cacher parmi les arbres du jardin pour ne pas ĂȘtre vus par le SEIGNEUR Dieu. Le SEIGNEUR Dieu appela lÂhomme ; il lui dit OĂč es-tu ? Il rĂ©pondit Je tÂai entendu dans le jardin et jÂai eu peur, parce que jÂĂ©tais nu ; je me suis donc cachĂ©. Il reprit Qui tÂa dit que tu Ă©tais nu ? Aurais-tu mangĂ© de lÂarbre dont je tÂavais dĂ©fendu de manger ? LÂhomme rĂ©pondit CÂest la femme que tu as mise auprĂšs de moi qui mÂa donnĂ© de lÂarbre, et jÂai mangĂ©. Alors le SEIGNEUR Dieu dit Ă la femme Pourquoi as-tu fait cela ? La femme rĂ©pondit CÂest le serpent qui mÂa trompĂ©e, et jÂai mangĂ©. Le SEIGNEUR Dieu dit au serpent Puisque tu as fait cela, tu seras maudit ... Je mettrai de lÂhostilitĂ© entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance celle-ci tÂĂ©crasera la tĂȘte, et tu lui mordras le talon. A la femme, il dit Je multiplierai la peine de tes grossesses. CÂest dans la peine que tu mettras des fils au monde. Ton dĂ©sir se portera vers ton mari, et lui, il te dominera. A lÂhomme, il dit Puisque tu as Ă©coutĂ© ta femme et que tu as mangĂ© de lÂarbre dont je tÂavais dĂ©fendu de manger, la terre sera maudite Ă cause de toi ; cÂest avec peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie. Elle fera pousser pour toi des Ă©pines et des chardons, et tu mangeras lÂherbe de la campagne. CÂest Ă la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusquÂĂ ce que tu retournes Ă la terre, puisque cÂest dÂelle que tu as Ă©tĂ© pris ; car tu es poussiĂšre, et tu retourneras Ă la poussiĂšre. LÂhomme appela sa femme du nom dÂEve Vivante », car elle est devenue la mĂšre de tous les vivants. Le SEIGNEUR Dieu fit Ă lÂhomme et Ă sa femme des habits de peau, dont il les revĂȘtit. Le SEIGNEUR Dieu dit LÂhomme est devenu comme lÂun de nous pour la connaissance de ce qui est bon ou mauvais. Que maintenant il ne tende pas la main pour prendre aussi de lÂarbre de la vie, en manger et vivre toujours ! Le SEIGNEUR Dieu le renvoya du jardin dÂEden, pour quÂil cultive la terre dÂoĂč il avait Ă©tĂ© pris. AprĂšs avoir chassĂ© lÂhomme, il posta, Ă lÂest du jardin dÂEden, les keroubim et lÂĂ©pĂ©e flamboyante qui tournoie, pour garder le chemin de lÂarbre de la vie. GenĂšse 3 4 Si Adam a existĂ©, Ă quelle Ă©poque a-t-il vĂ©cu? origami Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ? 6 Si Adam a existĂ©, Ă quelle Ă©poque a-t-il vĂ©cu? Avant le dĂ©luge. Donc Ă une pĂ©riode dont il ne reste que peu de traces archĂ©ologiques. La datation traditionnelle juive indique -4000 av JC environ. 7 Merci beaucoup, c'est intĂ©ressant. 8 Adam c'est narmer c'est le dĂ©but de l'humanitĂ© et sa date de crĂ©ation est le 6 septembre -3771 en Ăgypte le calendrier juive nous le dit clairement ! et il y avait des hommes avant lui qui ont pu assistĂ© a sa crĂ©ation et commencer leur calendrier................ et y a pas de serpent dans l'histoire .... Drianke ۧÙÙÙÙ
Ű„ÙŰȘŰ ÙÙۧ ŰŁŰšÙۧۚ ۧÙŰźÙ۱ Ùۣ۱ŰČÙÙۧ Ù
Ù ŰÙŰȘ Ùۧ ÙŰŰȘ۳ۚ 9 Narmer 3200 ans avant notre Ăšre Narmer, le Pharaon Soudanais d'origine Anous peuple noir d'oĂč est issu Osiris qui est Ă l'origine de la civilisation Ăgyptienne, premier roi de la premiĂšre dynastie Ăgyptienne, fut le rĂ©unificateur de la haute et de la basse Ăgypte. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le Delta du Nil Ă©tait encore sous les eaux et fut habitĂ© seulement Ă partir de 3200 ans avant notre Ăšre. Il est Ă l'origine de la sĂ©paration des terres en zones cultivables pour son peuple. Narmer Ă©tait dĂ©vouĂ© Ă son peuple, il introduisit une lĂ©gislation basĂ©e sur le respect de toute vie, qui engendra chez les Ăgyptiens une rectitude morale. Attitude que l'on peut observer dans leur conception de la mort et dans l'organisation des funĂ©railles. Le grand professeur ThĂ©ophile Obenga dans son livre Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx», nous dit ceci Aujourd'hui, la science physico-chimique donne entiĂšrement raison Ă Cheikh Anta Diop. En effet, Jacques Labeyrie, qui Ă dirigĂ© le centre des faibles radioactivitĂ©s CFR du commissariat Ă l'Ă©nergie atomique CEA et du centre national de recherche scientifique CNRS Ă GIF sur Yvette, a apportĂ© des preuves dĂ©cisives sur cette question de l'antĂ©rioritĂ© de la haute Ăgypte par rapport au delta le delta Ăgyptien n'Ă©tait pas habitĂ© avant 3500 avant notre Ăšre. Ce n'est qu'Ă partir de 3500 avant notre Ăšre que le delta est sorti de la mer. Ainsi, dans le delta, les plus anciens objets fabriquĂ©s par l'homme datent seulement de 3500 avant notre Ăšre, tandis que l'ensemble des datations au C14 effectuĂ©es jusqu'en 1975, montrent que les objets fabriquĂ©s par les hommes remontent Ă la plus haute antiquitĂ© en haute Ăgypte et dans les pays voisins Nubie, Soudan. Au demeurant, c'est un roi du sud, donc de la haute Ăgypte, Menes Narmer, qui conquit le delta, et l'Ăgypte dynastique Ă©tait nĂ©e Jacques Labeyrie, l'homme et le climat, Paris DenoĂ«l, 1985, Âl'Ă©mergence du delta du Nil, descente des eaux et montĂ©e de la civilisation Ă©gyptienneÂ. origami Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ? 10 Narmer 3200 ans avant notre Ăšre Narmer, le Pharaon Soudanais d'origine Anous peuple noir d'oĂč est issu Osiris qui est Ă l'origine de la civilisation Ăgyptienne, premier roi de la premiĂšre dynastie Ăgyptienne, fut le rĂ©unificateur de la haute et de la basse Ăgypte. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le Delta du Nil Ă©tait encore sous les eaux et fut habitĂ© seulement Ă partir de 3200 ans avant notre Ăšre. Il est Ă l'origine de la sĂ©paration des terres en zones cultivables pour son peuple. Narmer Ă©tait dĂ©vouĂ© Ă son peuple, il introduisit une lĂ©gislation basĂ©e sur le respect de toute vie, qui engendra chez les Ăgyptiens une rectitude morale. Attitude que l'on peut observer dans leur conception de la mort et dans l'organisation des funĂ©railles. Le grand professeur ThĂ©ophile Obenga dans son livre Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx», nous dit ceci Aujourd'hui, la science physico-chimique donne entiĂšrement raison Ă Cheikh Anta Diop. En effet, Jacques Labeyrie, qui Ă dirigĂ© le centre des faibles radioactivitĂ©s CFR du commissariat Ă l'Ă©nergie atomique CEA et du centre national de recherche scientifique CNRS Ă GIF sur Yvette, a apportĂ© des preuves dĂ©cisives sur cette question de l'antĂ©rioritĂ© de la haute Ăgypte par rapport au delta le delta Ăgyptien n'Ă©tait pas habitĂ© avant 3500 avant notre Ăšre. Ce n'est qu'Ă partir de 3500 avant notre Ăšre que le delta est sorti de la mer. Ainsi, dans le delta, les plus anciens objets fabriquĂ©s par l'homme datent seulement de 3500 avant notre Ăšre, tandis que l'ensemble des datations au C14 effectuĂ©es jusqu'en 1975, montrent que les objets fabriquĂ©s par les hommes remontent Ă la plus haute antiquitĂ© en haute Ăgypte et dans les pays voisins Nubie, Soudan. Au demeurant, c'est un roi du sud, donc de la haute Ăgypte, Menes Narmer, qui conquit le delta, et l'Ăgypte dynastique Ă©tait nĂ©e Jacques Labeyrie, l'homme et le climat, Paris DenoĂ«l, 1985, Âl'Ă©mergence du delta du Nil, descente des eaux et montĂ©e de la civilisation Ă©gyptienneÂ. Le point le plus important ce n'Ă©tait pas le prĂ©mier homme contrairement Ă ce qu'Allah a rĂ©vĂ©lĂ© aux 3 grandes religions monothĂ©istes donc c'est un exemple bidon de Nicky31 qui n'a ni fondement et ni logique 11 Le point le plus important ce n'Ă©tait pas le prĂ©mier homme contrairement Ă ce qu'Allah a rĂ©vĂ©lĂ© aux 3 grandes religions monothĂ©istes donc c'est un exemple bidon de Nicky31 qui n'a ni fondement et ni logique j'ai jamais dis que c'Ă©tait le premier homme j'ai dis que c'Ă©tais le premier humain !! les prĂ©adamite tu connais ?? 12 Narmer 3200 ans avant notre Ăšre Narmer, le Pharaon Soudanais d'origine Anous peuple noir d'oĂč est issu Osiris qui est Ă l'origine de la civilisation Ăgyptienne, premier roi de la premiĂšre dynastie Ăgyptienne, fut le rĂ©unificateur de la haute et de la basse Ăgypte. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le Delta du Nil Ă©tait encore sous les eaux et fut habitĂ© seulement Ă partir de 3200 ans avant notre Ăšre. Il est Ă l'origine de la sĂ©paration des terres en zones cultivables pour son peuple. Narmer Ă©tait dĂ©vouĂ© Ă son peuple, il introduisit une lĂ©gislation basĂ©e sur le respect de toute vie, qui engendra chez les Ăgyptiens une rectitude morale. Attitude que l'on peut observer dans leur conception de la mort et dans l'organisation des funĂ©railles. Le grand professeur ThĂ©ophile Obenga dans son livre Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx», nous dit ceci Aujourd'hui, la science physico-chimique donne entiĂšrement raison Ă Cheikh Anta Diop. En effet, Jacques Labeyrie, qui Ă dirigĂ© le centre des faibles radioactivitĂ©s CFR du commissariat Ă l'Ă©nergie atomique CEA et du centre national de recherche scientifique CNRS Ă GIF sur Yvette, a apportĂ© des preuves dĂ©cisives sur cette question de l'antĂ©rioritĂ© de la haute Ăgypte par rapport au delta le delta Ăgyptien n'Ă©tait pas habitĂ© avant 3500 avant notre Ăšre. Ce n'est qu'Ă partir de 3500 avant notre Ăšre que le delta est sorti de la mer. Ainsi, dans le delta, les plus anciens objets fabriquĂ©s par l'homme datent seulement de 3500 avant notre Ăšre, tandis que l'ensemble des datations au C14 effectuĂ©es jusqu'en 1975, montrent que les objets fabriquĂ©s par les hommes remontent Ă la plus haute antiquitĂ© en haute Ăgypte et dans les pays voisins Nubie, Soudan. Au demeurant, c'est un roi du sud, donc de la haute Ăgypte, Menes Narmer, qui conquit le delta, et l'Ăgypte dynastique Ă©tait nĂ©e Jacques Labeyrie, l'homme et le climat, Paris DenoĂ«l, 1985, Âl'Ă©mergence du delta du Nil, descente des eaux et montĂ©e de la civilisation Ă©gyptienneÂ. les datation sont approximative , faut pas rĂȘver non plus ! et adam c'est en -3761 donc ça colle ! donc Adam a Ă©tĂ© créé en haute Ă©gypte et fut Ă©jecter en basse Ă©gypte !! ça correspond ! et c'est qui le pĂšre de narmer ??, il n'y en a pas ?? et avant c'Ă©tait une autre civilisation et le dernier en date c'est le roi scorpion ! ça me rappelle vaguement une histoire de messager ange qui demande a Allah pourquoi il va donner le califat a adam alors qu'ils sont lĂ ! et Allah leur dit qu'il connait les nom de tout ce qui veut dire qu'Adam a apporter l'Ă©criture et la science avec lui ! et les hiĂ©roglyphe sont la premiĂšre Ă©criture sur terre ! ne me parlez pas des pattes de chat sumĂ©rienne qui n'en sont qu'une copie bas de gamme ! l'Ă©criture Ă©gyptienne c'est 3 Ă©criture en une et se lisent de plusieurs façon ! bref une Ă©criture tellement Ă©laborĂ© qu'on ne pourrait pas la reproduire aujourd'hui ! Ebion Salueur ou salutateur? Telle est la question 13 Avant le dĂ©luge. Donc Ă une pĂ©riode dont il ne reste que peu de traces archĂ©ologiques. La datation traditionnelle juive indique -4000 av JC environ. Manque de pot notre espĂšce existe depuis environ 200 000 ans et il n'y a jamais eu de dĂ©luge mondial. 14 Manque de pot notre espĂšce existe depuis environ 200 000 ans et il n'y a jamais eu de dĂ©luge mondial. Les traditions les plus anciennes de nombreux peuples sur les 5 continents contiennent cette rĂ©fĂ©rence au dĂ©luge. Un des rares Ă©lĂ©ments dont la mĂ©moire est universelle. origami Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ? 15 j'ai jamais dis que c'Ă©tait le premier homme j'ai dis que c'Ă©tais le premier humain !! les prĂ©adamite tu connais ?? Un homme et un humain c'est pareil ... 16 Un homme et un humain c'est pareil ... aujourd'hui dans notre langage courant , oui , mais a la base ... non ! Allah Ă crĂ©er deux sorte d'homme ! 17 Manque de pot notre espĂšce existe depuis environ 200 000 ans et il n'y a jamais eu de dĂ©luge mondial. qui t'a dit que le dĂ©luge Ă©tait mondial ??? le dĂ©luge est visible encore aujourd'hui ! regarde tel aviv ou toute les autres tels ou tells, c'est soit des citĂ© soit des temples qui sont passĂ© sous les eau et ont Ă©tĂ© recouvert de terre pour former des colline ! 18 Narmer 3200 ans avant notre Ăšre Narmer, le Pharaon Soudanais d'origine Anous peuple noir d'oĂč est issu Osiris qui est Ă l'origine de la civilisation Ăgyptienne, premier roi de la premiĂšre dynastie Ăgyptienne, fut le rĂ©unificateur de la haute et de la basse Ăgypte. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le Delta du Nil Ă©tait encore sous les eaux et fut habitĂ© seulement Ă partir de 3200 ans avant notre Ăšre. Il est Ă l'origine de la sĂ©paration des terres en zones cultivables pour son peuple. Narmer Ă©tait dĂ©vouĂ© Ă son peuple, il introduisit une lĂ©gislation basĂ©e sur le respect de toute vie, qui engendra chez les Ăgyptiens une rectitude morale. Attitude que l'on peut observer dans leur conception de la mort et dans l'organisation des funĂ©railles. Le grand professeur ThĂ©ophile Obenga dans son livre Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx», nous dit ceci Aujourd'hui, la science physico-chimique donne entiĂšrement raison Ă Cheikh Anta Diop. En effet, Jacques Labeyrie, qui Ă dirigĂ© le centre des faibles radioactivitĂ©s CFR du commissariat Ă l'Ă©nergie atomique CEA et du centre national de recherche scientifique CNRS Ă GIF sur Yvette, a apportĂ© des preuves dĂ©cisives sur cette question de l'antĂ©rioritĂ© de la haute Ăgypte par rapport au delta le delta Ăgyptien n'Ă©tait pas habitĂ© avant 3500 avant notre Ăšre. Ce n'est qu'Ă partir de 3500 avant notre Ăšre que le delta est sorti de la mer. Ainsi, dans le delta, les plus anciens objets fabriquĂ©s par l'homme datent seulement de 3500 avant notre Ăšre, tandis que l'ensemble des datations au C14 effectuĂ©es jusqu'en 1975, montrent que les objets fabriquĂ©s par les hommes remontent Ă la plus haute antiquitĂ© en haute Ăgypte et dans les pays voisins Nubie, Soudan. Au demeurant, c'est un roi du sud, donc de la haute Ăgypte, Menes Narmer, qui conquit le delta, et l'Ăgypte dynastique Ă©tait nĂ©e Jacques Labeyrie, l'homme et le climat, Paris DenoĂ«l, 1985, Âl'Ă©mergence du delta du Nil, descente des eaux et montĂ©e de la civilisation Ă©gyptienneÂ. tableau des dynasties pharaoniques tel que l'a fait M. Champollion-Figeac d'aprĂšs ManĂ©thon. AprĂšs on peut douter des compĂ©tences de ce monsieur en matiĂšre d'Egyptologie mais bon... 19 tableau des dynasties pharaoniques tel que l'a fait M. Champollion-Figeac d'aprĂšs ManĂ©thon. AprĂšs on peut douter des compĂ©tences de ce monsieur en matiĂšre d'Egyptologie mais bon... thĂ©baĂŻne en -3762 en haute Ăgypte en plus ! Le calendrier hĂ©braĂŻque est un calendrier luni-solaire composĂ© dÂannĂ©es solaires, de mois lunaires, et de semaines de sept jours commençant le dimanche et se terminant le samedi, jour du Chabbat. Il prend pour point de dĂ©part le commencement BerĂ©chit de la GenĂšse, premier livre de la Bible, quÂil fait correspondre Ă lÂan -3761 du calendrier grĂ©gorien. Au soir du 28 septembre 2011, il est entrĂ© dans lÂannĂ©e hĂ©braĂŻque 5772. et sa titulature c'est L'ancĂȘtre » PĂšre des Dieux, Montouhotep le Grand, bien-aimĂ© de Satis la maĂźtresse d'ĂlĂ©phantine » faut lire pĂ©re des seigneurs ... il a un pĂšre mais pas de mĂšre ...ce doit ĂȘtre son tuteur puisque celui ci n'a aucune titulature ! bref c'est le premier ! merci pour ta trouvaille david ! la j'ai fait une synthĂšse rapide , mais je vais plancher dessus ... faut savoir que les nom des premiĂšre dynastie ne sont que des doublons avec d'autre noms des dynastie les plus connu franchement j'ai lu la date ça a fait tilt ! et je tombe sur un roi dÂĂgypte qui sÂappelle lÂancĂȘtre ! et a thĂšbes en plus ! origami Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ? 20 aujourd'hui dans notre langage courant , oui , mais a la base ... non ! Allah Ă crĂ©er deux sorte d'homme ! Il crĂ©er les hommes et les Djinns, pas 2 sortes d'hommes. tu veux un verset du coran qui en parle?? Sourate 51 verset 56 Je n'ai créé les djinns et les hommes que pour qu'ils M'adorent. Tu te base ni sur le coran, ni sur la bible ni sur rien d'ailleurs, comme toujours tu dis n'importe quoi.. 21 Il crĂ©er les hommes et les Djinns, pas 2 sortes d'hommes. tu veux un verset du coran qui en parle?? Sourate 51 verset 56 Je n'ai créé les djinns et les hommes que pour qu'ils M'adorent. Tu te base ni sur le coran, ni sur la bible ni sur rien d'ailleurs, comme toujours tu dis n'importe quoi.. tu veux dire des humains et des "djinns" homme c'est rajoul humain c'est insan etre c'est bachar... origami Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ? 22 tu veux dire des humains et des "djinns" homme c'est rajoul humain c'est insan etre c'est bachar... Tu te plante complĂštement Homme avec un grand H qui reprĂ©sente l'humain Insan homme masculin rajoul qui s'oppose Ă mar'ha la femme, feminine. Je ne parle mĂȘme pas arabe mais je sais ça. Tu rĂ©invente les choses a ta sauce une fois de plus et tu prouve encore ta mauvaise foi. 23 Tu te plante complĂštement Homme avec un grand H qui reprĂ©sente l'humain Insan homme masculin rajoul qui s'oppose Ă mar'ha la femme, feminine. Je ne parle mĂȘme pas arabe mais je sais ça. Tu rĂ©invente les choses a ta sauce une fois de plus et tu prouve encore ta mauvaise foi. chat avec un grand C reprĂ©sente le siamois chat c'est l'opposĂ© de la chatte... c'est ce que tu es entrain de dire sans t'en apercevoir ! lit la sourate 72 verset 6 et quand aux savons qui ont traduis homme par mĂąle , faut les prĂ©venir que l'homme n'est pas un animal et justement il y a dĂ©jĂ les mots mĂąle et femelle dans le coran !! et ça ne concerne que les animaux !! 24 Le serpent Ă©tait le plus avisĂ© de tous les animaux de la campagne que le SEIGNEUR Dieu avait faits. Il dit Ă la femme Dieu a-t-il rĂ©ellement dit Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ! » La femme dit au serpent Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de lÂarbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit Vous nÂen mangerez pas, vous nÂy toucherez pas, sinon vous mourrez ! » Alors le serpent dit Ă la femme Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Dieu le sait le jour oĂč vous en mangerez, vos yeux sÂouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent ce qui est bon ou mauvais. La femme vit que lÂarbre Ă©tait bon pour la nourriture et plaisant pour la vue, quÂil Ă©tait, cet arbre, dĂ©sirable pour le discernement. Elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna aussi Ă son mari qui Ă©tait avec elle, et il en mangea. Satan veut prendre la place de Dieu et ĂȘtre adorĂ© comme s'il Ă©tait Dieu. Il essaie de sĂ©duire l'humain en mettant en avant des choses Ă convoiter. 25 aujourd'hui dans notre langage courant , oui , mais a la base ... non ! Allah Ă crĂ©er deux sorte d'homme ! Homme et humain, c'est pareil et ça a toujours Ă©tĂ© pareil... Dans le language courant comme Ă la base... Mais bon, on a dĂ©jĂ eu cette conversation par le passĂ©. Sans rĂ©sultat Ă ce que je vois. Quant aux "sortes d'hommes", si tu fais rĂ©fĂ©rence Ă des "espĂšces", oui, il y a eu plusieurs espĂšces humaines. La nĂŽtre sapiens ayant au moins ans comme cela a Ă©tĂ© dit quelque part. Donc plus, bien plus qu'une demi douzaine d'annĂ©es. Quand mĂȘme...! 26 chat avec un grand C reprĂ©sente le siamois chat c'est l'opposĂ© de la chatte... c'est ce que tu es entrain de dire sans t'en apercevoir ! lit la sourate 72 verset 6 et quand aux savons qui ont traduis homme par mĂąle , faut les prĂ©venir que l'homme n'est pas un animal et justement il y a dĂ©jĂ les mots mĂąle et femelle dans le coran !! et ça ne concerne que les animaux !! L'homme ne fait pas partie du rĂšgne vĂ©gĂ©tal, ni minĂ©ral. Il reste le rĂšgne animal... 27 L'homme ne fait pas partie du rĂšgne vĂ©gĂ©tal, ni minĂ©ral. Il reste le rĂšgne animal... Non dans la pensĂ©e monothĂ©iste, l'homme est crĂ©e Ă l'image de Dieu, il a la possibilitĂ© de rentrer en relation avec Dieu. C'est la religion qui sĂ©pare l'hoimme de l'animal. En archĂ©ologie on parle d'hommes quand il y a des traces de rites funĂ©raires ou religieux. L'homme sans Dieu est appelĂ© l'homme animal dans l'Ă©vangile. 28 Non dans la pensĂ©e monothĂ©iste, l'homme est crĂ©e Ă l'image de Dieu, il a la possibilitĂ© de rentrer en relation avec Dieu. C'est la religion qui sĂ©pare l'hoimme de l'animal. Et l'homme sans religion? Ou bien c'est juste "la possibilitĂ© d'entrer en relation avec dieu" qui fait de l'animal appelĂ© "homme" un cas Ă part? dan12 Ă dit En archĂ©ologie on parle d'hommes quand il y a des traces de rites funĂ©raires ou religieux. Non, pas seulement. Les homo habilis, et mĂȘme en partie les homo erectus, n'avaient pas encore de rites funĂ©raires ou religieux, mais sont considĂ©rĂ©s comme faisant pleinement partie de la lignĂ©e humaine. dan12 Ă dit L'homme sans Dieu est appelĂ© l'homme animal dans l'Ă©vangile. Ca rĂ©pond Ă ma premiĂšre question. Comme quoi, la distinction n'est pas si nette que cela. ;- 29 Homme et humain, c'est pareil et ça a toujours Ă©tĂ© pareil... Dans le language courant comme Ă la base... Mais bon, on a dĂ©jĂ eu cette conversation par le passĂ©. Sans rĂ©sultat Ă ce que je vois. Quant aux "sortes d'hommes", si tu fais rĂ©fĂ©rence Ă des "espĂšces", oui, il y a eu plusieurs espĂšces humaines. La nĂŽtre sapiens ayant au moins ans comme cela a Ă©tĂ© dit quelque part. Donc plus, bien plus qu'une demi douzaine d'annĂ©es. Quand mĂȘme...! voici les djinns et pour le premier d'entre eux c'est il y a 159000 ans .... il y a bien les aryens d'indien et les aryens humains pour dĂ©signer le premier homme ! regarde les gĂ©nĂ©alogie avec adam c'est toujours en moins 3761 qu'on le retrouve avec le dĂ©but de la civilisation et de l'Ă©criture et des science ! 30 L'Ă©vangile affirme l'homme animal [naturel] ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu&8230; Le terme animal ou naturel signifie sensuel », ou qui appartient aux sens. Ceci fait rĂ©fĂ©rence Ă un homme Ă l'Ă©tat brut. Il vit dirigĂ© par ses sens. Il n'a aucun contact avec Dieu. L'homme "humain" cherche la relation avec Dieu. Il a un vide en lui qui a la forme de Dieu. 31 Toute ca c'est de l'histoire romancĂ©e... 32 voici les djinns et pour le premier d'entre eux c'est il y a 159000 ans .... il y a bien les aryens d'indien et les aryens humains pour dĂ©signer le premier homme ! regarde les gĂ©nĂ©alogie avec adam c'est toujours en moins 3761 qu'on le retrouve avec le dĂ©but de la civilisation et de l'Ă©criture et des science ! "Aryens d'indiens et aryens d'humains", je pige pas, lĂ ... C'est quoi les "aryens d'humains"??? Ne me dis pas aussi que les indiens ne sont pas humains... Tu pourras retourner le problĂšme si problĂšme il y a dans tous les sens, "hommes" et "humains", c'est pareil, c'est tout... ;- -3761 n'a rien Ă voir avec "le dĂ©but de la civilisation" et rien Ă voir avec "le dĂ©but des sciences"... Il y a des villes qui ont existĂ© avant -3761, et pour qu'il y ait une ville, mĂȘme petite, il faut qu'il y ait civilisation... AprĂšs, on peut mettre des qualificatifs par dessus "grande" civilisation, civilisation "plus Ă©voluĂ©e", civilisation boostĂ© par l'Ă©criture, autre... mais ça n'en fait pas "le dĂ©but" de la civilisation. En outre, les avancĂ©es scientifiques sont un processus continu, qui n'a pas attendu l'Ă©criture, mĂȘme si l'Ă©criture a fortement boostĂ© le domaine. ;- Et puis, -3761, ce degrĂ© de "prĂ©cision" en terme de date, c'est assez amusant. -3761 par rapport Ă quoi, Ă qui, Ă jĂ©sus? Qui lui mĂȘme est nĂ© entre -4 et -7 avant JC... -D Ca ne veut pas dire, en passant, qu'il est nĂ© avant lui-mĂȘme, mais que sa date de naissance qu'on a arbitrairement fixĂ©e, est aujourd'hui placĂ©e avant la date initialement arbitrairement fixĂ©e. Mais c'est secondaire, ce que je veux dire, c'est que le premier homme c'est-Ă -dire ĂȘtre humain n'est pas apparu en -3761, mais beaucoup beaucoup beaucoup plus tĂŽt. Maintenant, s'il y en a un en particulier dans l'histoire ou la prĂ©histoire qui est nĂ© Ă ce moment lĂ , et qui est censĂ© ĂȘtre l'un de nos ancĂȘtres Ă toute l'humanitĂ© actuelle, why not. Mais bon, il s'inscrit lui-mĂȘme dans une lignĂ©e... 33 Le point le plus important ce n'Ă©tait pas le prĂ©mier homme contrairement Ă ce qu'Allah a rĂ©vĂ©lĂ© aux 3 grandes religions monothĂ©istes donc c'est un exemple bidon de Nicky31 qui n'a ni fondement et ni logique A propos avez vous lu cette page sur la GenĂšse chez les chinois c'est assez Ă©patant La forme primaire jardin se retrouve dans les mots tentation, fruit, nu, jardin, Diable. Une coincidence? Ou les premiers chinois avaient ils connaissance du rĂ©cit de la chute d'adam et eve? 34 L'Ă©vangile affirme l'homme animal [naturel] ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu&8230; Le terme animal ou naturel signifie sensuel », ou qui appartient aux sens. Ceci fait rĂ©fĂ©rence Ă un homme Ă l'Ă©tat brut. Il vit dirigĂ© par ses sens. Il n'a aucun contact avec Dieu. L'homme "humain" cherche la relation avec Dieu. Il a un vide en lui qui a la forme de Dieu. Donc on est bien d'accord, si on fait abstraction de la dimension "esprit" qui n'est pas trĂšs palpable, biologiquement parlant, l'homme est tout bĂȘtement un animal... Un animal qui a la capacitĂ© de "dĂ©finir" son entourage, et qui, trĂšs "modestement", s'auto-dĂ©finit comme "Ă part" parmi tous les autres ĂȘtres vivants, jusqu'Ă refuser les liens de "parentĂ©s" qui nous lient... Oui, trĂšs trĂšs modestement, pour ne pas dire de maniĂšre anthropocentriste... origami Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ? 35 A propos avez vous lu cette page sur la GenĂšse chez les chinois c'est assez Ă©patant La forme primaire jardin se retrouve dans les mots tentation, fruit, nu, jardin, Diable. Une coincidence? Ou les premiers chinois avaient ils connaissance du rĂ©cit de la chute d'adam et eve? comme je t'ai dit , les hadiths nous ont dit qu'il y a eu 124 000 prophĂštes et qu'aucun peuple n'a pas reçu de prophĂštes.
19 aoĂ»t 2009 3 19 /08 /aoĂ»t /2009 2007 AsĂšt, OusirĂ©, Hor. Certains d'entre nous ont entendu parler du concept de "Renaissance Africaine", que l'on Ă©crit en Ro En Kemet, "Uhem Mesut" Le Renouvellement des Naissances. Pour RenaĂźtre, il faut avoir Ă©tĂ©. C'est ainsi que la connaissance de l'histoire de l'Afrique Kemet doit ĂȘtre connue. Et retracer l'histoire des Kamits Noirs depuis l'apparition de l'Homme Moderne sur le Sol Africain, c'est remonter aux origines de La Longue Marche de L'HumanitĂ©. Avant toute chose, interrogeons nous sur le concept de "races humaines" . Cette notion dans l'histoire rĂ©cente, a souvent Ă©tĂ© utilisĂ©e pour justifier les pires actes commis Ă notre encontre. Nous verrons ici, que pour connaĂźtre notre passĂ© d'Africains, il faut embrasser l'histoire de l'espĂšce humaine depuis son commencement. de lâhumanitĂ© La science nous apprend que nous appartenons Ă lâespĂšce dite homo sapiens sapiens» apparue en Afrique il y a environ 200 000 ans avant l'Ăšre occidentale dans la vallĂ©e de lâOmo. En effet, les crĂąnes Omo 1 et Omo 2 dĂ©couverts par Richard Leakey en 1967, ont Ă©tĂ© redatĂ©s en 2005 par le Pr Ian Mc Dougall. Citons Pascal Picq, palĂ©oanthropologue, membre du CollĂšge de France Tous parents, mais tous diffĂ©rents. Toutes les femmes et tous les hommes dâaujourdâhui appartiennent Ă une seule espĂšce⊠Une certitude cependant, les premiĂšres femmes et les premiers hommes modernes avaient la peau noire ». Cette vĂ©ritĂ© Ă©tait-elle ignorĂ©e des Anciens europĂ©ens ? Pas du tout. En voici la preuve. Au 1er siĂšcle avant lâhistorien grec Diodore de Sicile le savait dĂ©jĂ On prĂ©tend que les Ethiopiens sont de tous les hommes les premiers qui aient existĂ©. » Afin dâĂȘtre protĂ©gĂ©s contre les rayons ultra violets du soleil, la peau des premiers hommes Ă©tait dotĂ©e dâun fort taux de mĂ©lanine. Ils Ă©taient donc noirs. Ces premiers hommes vont quitter lâAfrique pour peupler le reste du monde. Il y a 40 000 ans, un groupe de Noirs arrive dans le sud de lâEurope. En 1901 on a retrouvĂ© les restes de lâhomme de Grimaldi » Ă Menton. Cet homme fossile est conservĂ© aujourdâhui au musĂ©e de Monaco. JusquâĂ cette date de - 40 000 ans, lâhumanitĂ© est uniquement noire. Une RĂ©volution Climatique La glaciation wĂŒrmienne. Entre - 40 000 ans et - 20 000 ans sâopĂšre un Ă©norme refroidissement de lâhĂ©misphĂšre nord. Les rayons ultra violets sont moins puissants dans cette zone, le soleil se fait plus discret. En Europe notamment, lâhumanitĂ© change dâapparence. La peau nâa plus besoin de cette protection de la mĂ©lanine contre le soleil. Elle sâĂ©claircit. Le corps doit conserver la chaleur et lâair frais doit rentrer dans le corps de façon parcimonieuse câest le rĂ©trĂ©cissement des narines. Tandis quâun nez plus large, dans des rĂ©gions chaudes, laisse passer plus dâair pour refroidir le corps. Conclusion au delĂ de nos apparences, nous appartenons Ă la mĂȘme espĂšce humaine. Nous avons une origine commune et elle est africaine. du Caire 1974Le colloque du Caire auquel je fais souvent rĂ©fĂ©rence peut faire lâeffet dâun vĂ©ritable dialogue de sourds quand on en lit le rĂ©sumĂ©. Ce que les organisateurs de lâUNESCO constatent, câest le dĂ©sĂ©quilibre » des argumentations des participants la trĂšs minutieuse prĂ©paration du colloque par les professeurs Diop et Obenga nâa pas toujours rencontrĂ© une contrepartie Ă©gale. » Diop et Obenga Ă©taient les seuls reprĂ©sentants de lâAfrique Ă ce colloque sur le peuplement de lâEgypte antique. Sur le plan de lâappartenance raciale » des Egyptiens, il nây a pas eu de vĂ©ritable accord des participants. En revanche sur la culture Ă©gyptienne pharaonique, Diop et Obenga ont convaincu bon nombres de leurs pairs Le professeur Sauneron a soulignĂ© lâintĂ©rĂȘt de la mĂ©thode proposĂ©e par le professeur Obenga aprĂšs le professeur Diop. LâĂ©gyptien est une langue stable durant au moins 4500ans⊠LâĂ©gyptien ne peut ĂȘtre isolĂ© de son contexte africain. » Il sâagit de la langue parlĂ©e par les pharaons. 3 Savants europĂ©ens de bonne foi. Doit-on rappeler que la question avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© tranchĂ©e plusieurs siĂšcles plus tĂŽt ? Par des savants europĂ©ens de bonne foi. Et non des moindres. Parmi ceux-ci, citons Jean-François Champollion dit Champollion Le Jeune, le dĂ©chiffreur de la pierre de Rosette. Le dĂ©chiffreur des hiĂ©roglyphes Ă lâĂ©poque moderne parle des Nubiens dans son journal 1828 Ce peuple infortunĂ© qui nâa rien de commun avec les Arabes, ni par son langage, ni par lâapparence physique. » Toujours Ă la mĂȘme page 160, de la version anglaise de son journal ⊠ce sont des gens agrĂ©ables et naturellement heureux comme tous les nubiens. Ils sont minces et leurs traits faciaux sont dĂ©licats, la complexion rouge-marron de leur peau est proche de la couleur noire, et rappelle celle de la race Ă©gyptienne ancienne. » Emile AmĂ©lineau, Ă©gyptologue français, cĂ©lĂšbre pour avoir dĂ©couvert la tĂȘte du dieu Osiris, dans la nĂ©cropole dâAbydos La civilisation Ă©gyptienne⊠est non dâorigine asiatique, mais dâorigine africaine, dâorigine nĂ©groĂŻde⊠», Ă©ditions Leroux, 1916. Nâoublions pas que les Anciens, grecs et latins, tels des enfants terribles, nâont cessĂ© de nous lĂ©guer cette vĂ©ritĂ© dans leurs Ă©crits. HĂ©rodote, qualifiĂ© de pĂšre de lâhistoire » par Christiane Desroches-Noblecourt, nous a lĂ©guĂ© des tĂ©moignages que la grande prĂȘtresse de lâĂ©gyptologie française prĂ©fĂšre passer sous silence ils ont la peau noire et les cheveux crĂ©pus. » Pour le philosophe grec de lâantiquitĂ© Aristote, les Egyptiens Ă©taient agan melanes », câest Ă dire excessivement nĂšgres ». Nâoublions pas que le mot mĂ©lanine » que nous employions tout Ă lâheure, trouve son origine dans le grec melas ». kamites LâAfrique savante sâest engagĂ©e dans le dĂ©bat avec Cheikh Anta Diop en 1954 et de quelle façon ! Avec son chef dâĆuvre Nations NĂšgres et Culture. » Signalons tout de mĂȘme que les Africains AmĂ©ricains Blyden et James, ainsi que l'essayiste haĂŻtien AntĂ©nor Firmin photo ci-dessus, avaient dĂ©jĂ ouvert la brĂšche Ă la fin du XIXĂšme siĂšcle. Mais existe â t'-il rĂ©ellement un dĂ©bat ? Pour les tenants de la falsification de lâhistoire, lâarme principale est le silence. Quant aux Africains francophones qui se basent aujourdâhui sur de vrais travaux scientifiques, ils doivent retrouver Ă prĂ©sent lâEsprit des Anciens Kamites pour sâatteler Ă la Renaissance de lâAfrique et pour faire que la diaspora trouve sa place dans son pays dâaccueil la France, sans perdre son Ăąme. C'est ce que bon nombre d'entre eux d'ailleurs, font dĂ©jĂ , avec un talent et un engagement qui force le respect. falsification de lâhistoirePourquoi un tel mensonge historique ? LâOccident a pratiquĂ© lâesclavage de la race noire. En pleine pĂ©riode de trafic du bois dâĂ©bĂšne », Bonaparte rĂ©alise la conquĂȘte militaire de lâEgypte. Volney sera du voyage. Il tĂ©moignera de la nĂ©gritude du Sphinx. Mais en pleine pĂ©riode de traite nĂ©griĂšre, il faudra Ă tout prix nier lâafricanitĂ© de la civilisation qui lĂ©gua jadis aux jeunes peuples mĂ©diterranĂ©ens Grecs, Romains tant dâĂ©lĂ©ments du savoir scientifique et spirituel. Ainsi, la naissance de lâĂ©gyptologie se signalera par sa volontĂ© dâextraire lâEgypte antique de son contexte africain. Câest ainsi que Champollion-Figeac, frĂšre ainĂ© de Champollion Le Jeune, aprĂšs avoir regrettĂ© que le livre de Volney Voyage en Egypte » soit dans toutes les bonnes bibliothĂšques dira, pour infirmer le tĂ©moignage de lâorientaliste que les cheveux crĂ©pus et la peau noire ne suffisent pas Ă dĂ©finir la race nĂšgre » ! suprĂ©matie blanche Pierre Nillon identifie lâorigine du racisme contre les Noirs Mes recherches montrent clairement que lâorigine du racisme se trouve dans le judaĂŻsme instituĂ© en 398 avant sous la direction du scribe et sacrificateur Esdras. » En effet, on a vu tout Ă lâheure que selon la science dĂ©couverte dâhommes fossiles en Ethiopie, Afrique du Sud, Kenya, lâorigine de lâhumanitĂ© est africaine. Or, le judaĂŻsme et donc lâAncien Testament trouvent aussi une origine unique Ă lâhumanitĂ©. Mais pour eux, celle-ci nâest pas africaine mais mĂ©sopotamienne GenĂšse 2. Dans le JudaĂŻsme contrairement Ă lâopinion des anciens europĂ©ens Grecs, Romains, les premiers hommes ne sont plus mĂ©lanodermes, mais leucodermes blancs. Esdras, le rĂ©dacteur du texte biblique invente lâorigine de la couleur noire de certaines populations humaines par le fait que ces peuples descendent dâun ancĂȘtre commun Cham, qui vit la nuditĂ© de son pĂšre NoĂ© expression juive signifiant avoir des relations sexuelles et de ce fait, maudit par celui-ci, devint noir ainsi que tout sa postĂ©ritĂ© GenĂšse, chapitre 9. Le sortilĂšge donnant naissance Ă la noirceur de Cham est dĂ©crit dans le Talmud. Le peuple Ă©lu » supĂ©rieur donc, serait selon cette conception le peuple juif, les races aryennes descendant de Japhet auraient droit Ă une considĂ©ration Japhet habitera dans la tente de Sem » GenĂšse 9 et les descendant de Canaan deviendraient les esclaves de Sem et Japhet. Les EuropĂ©ens ont dĂ©laissĂ© leurs anciens cultes pour adopter le christianisme qui trouve son origine dans lâAncien Testament des Juifs. Les Arabes ont hĂ©ritĂ© Ă travers lâislam, de lâantikĂ©mitisme des Juifs. Et ils ont tous cohabitĂ© longuement, durant la pĂ©riode de lâEspagne musulmane. La Mauritanie nâa aboli lâesclavage des Noirs⊠quâen 1981 ! Quant aux Juifs, ils ne sont pas mauvais en tant que tels, câest leur idĂ©ologie Ă©litiste qui pose problĂšme. Le chanteur de culture zouloue Johnny Clegg, sâenfuit Ă lâadolescence du domicile maternel, Ă lâidĂ©e dâĂȘtre Ă©duquĂ© religieusement par les rabbins. Cham Oyabi, le thĂ©ologien africain, qui dirige Ă Poitiers l'Eglise Animiste de Notre Temps, dit que dans une version plus ancienne de la GenĂšse, retrouvĂ©e dans les manuscrits de la Mer Morte, l'Ă©pisode du Chapitre 9 ne comporte aucune scĂšne d'ivresse concernant le patriarche NoĂ© et... pas l'ombre d'une quelconque malĂ©diction. Celle-ci aurait donc Ă©tĂ© ajoutĂ©e Ă postĂ©riori. is beautiful Avant cette diffusion du racisme au sein du monde blanc, le slogan chez les Anciens Ă©tait Black is beautiful » le Noir est magnifique, plusieurs millĂ©naires avant Angela Davis et la Motown. Au 8Ăšme siĂšcle avant HomĂšre Iliade 1 ; 423 Ă 425 le pĂšre de la littĂ©rature grecque est sans Ă©quivoque Zeus est parti hier du cĂŽtĂ© de lâOcĂ©an prendre part Ă un banquet chez les Noirs sans reproche, et tous les dieux lâont suivi. Dans douze jours il retournera dans lâOlympe. » Au 5Ăšme siĂšcle avant HĂ©rodote fait Ă©tat de la beautĂ© du peuple noir en disant Les Noirs quâils allaient trouver sont, dit-on, les hommes les plus grands et les plus beaux du monde . » Françafrique Aujourdâhui, dans les pays anglo-saxons par exemple, lâattitude envers lâhomme de couleur est moins inamicale que par le passĂ©. Il semblerait que le monde intellectuel en Angleterre soit moins engluĂ© dans le racisme passionnel quâen France. Il est frappant de constater que rĂ©cemment, le Dr Robin Richards de lâUniversity College de Londres, a reconstituĂ© en numĂ©rique les traits qui se cachent derriĂšre le masque mortuaire en or de Toutankhamon. AidĂ© de sculpteurs et de plasticiens il a tirĂ© parti des radiographies de la momie et sâest inspirĂ© des individus du mĂȘme Ăąge et dâun groupe ethnique proche de celui auquel appartenait le pharaon. Le visage reconstituĂ© ressemble Ă celui dâun jeune Camerounais ou NigĂ©rian dâaujourdâhui. A propos des Etats-Unis, il faut admettre que le parcours dâun Barack Obama, serait impensable dans la France dâaujourdâhui. Il nous faut nous pencher sur cette spĂ©cificitĂ© française. Bon, on va faire simple. La France oscille entre deux pĂŽles libertĂ©, Ă©galitĂ©, fraternitĂ© et lâempire des Français. Câest lâhĂ©ritage de la rĂ©volution française de 1789 trĂšs vite confisquĂ© par un homme NapolĂ©on Bonaparte. Le rĂȘve de libertĂ© universelle sâest muĂ© en rĂȘve impĂ©rial. Et nous nâen sommes pas encore sortis ! Sâagissant de lâAfrique, pour comprendre la relation incestueuse de notre pays la France avec ce continent, il faut lire François-Xavier Vershave. Jetons un coup dâĆil Ă la quatriĂšme de couverture de son livre Noir silence » Il existe un pays oĂč, depuis son palais, le chef de lâEtat recrute librement des mercenaires et pilote des guerres civiles sur un autre continent. Ce livre donne des noms, des dates, des tĂ©moignages. Il existe un pays qui attise les conflits ethniques et dĂ©verse des armes sur des rĂ©gions Ă feu et Ă sang, pour rester maĂźtre du seul vrai pouvoir lâargent. Ce livre raconte ces crimes sans tribunal⊠Ce pays, câest la France. Le continent humiliĂ© câest lâAfrique. Leur liaison incestueuse câest la Françafrique. » Dans un tel contexte, il est tout Ă fait logique quâune presse aux ordres des politiques et des multinationales qui se partagent le gĂąteau africain, perpĂ©tue le mythe du nĂšgre barbare, en dĂ©pit de toute logique scientifique. cas Français Câest ainsi que la reconstitution française en numĂ©rique du buste de Toutankhamon, nâa absolument rien Ă voir avec celle effectuĂ©e par lâĂ©quipe de lâuniversitĂ© de Londres. Câest ainsi que le buste de la princesse dâEgypte qui se trouve au musĂ©e du Berlin, et prĂ©sentĂ© comme celui de NĂ©fertiti, serait en rĂ©alitĂ© celui dâune princesse mitanienne, concubine du roi et non lâĂ©pouse royale de sang Ă©gyptien. Mais des journaux comme le Figaro, lorsquâils font des numĂ©ros spĂ©ciaux sur lâEgypte, nâomettent pas de prĂ©senter ce faux manifeste en page de couverture. 10. Mythomanie, mĂ©galomanie maladies de lâesprit Ce qui est vrai pour les individus lâest parfois pour les peuples. Le mythomane croit Ă ses mensonges. En fait, il va tellement loin dans le mensonge, sachant que chaque nouvelle fable vient camoufler une tromperie rĂ©cente, elle mĂȘme destinĂ©e Ă occulter une falsification plus ancienne, que mentir devient une seconde nature. Câest ce qui est arrivĂ© Ă lâOccident moderne. Lâexemple le plus Ă©difiant est celui du chien qui fait ses besoins dans le jardin. Il envoie promener en arriĂšre ses pattes de derriĂšre, pour faire en sorte quâun peu de terre recouvre sa petite commission. NaĂŻvement, il croit que celle-ci est cachĂ©e aux yeux de tous et il sâen va tranquillement. LâOccident moderne agit de mĂȘme. Il camoufle de façon grossiĂšre ses crimes et ses mensonges, que des chroniqueurs vertueux et courageux de toute origine consignent pourtant dans leurs annales. Il le sait, mais peu lui importe, du moment que la masse continue Ă avaler des couleuvres. De la mĂȘme façon, on peut dire que la mĂ©galomanie est une maladie de lâesprit. Le thĂ©oricien de la suprĂ©matie blanche est persuadĂ© que toutes les inventions dont bĂ©nĂ©ficie lâhumanitĂ© sont le fruit du travail de sa seule communautĂ©. Elle seule serait pourvue de la raison raisonnante. Les impĂ©rialistes blancs entendent rĂ©gner sur le passĂ© falsification de lâhistoire sur le prĂ©sent bien sĂ»r, mais aussi pour lâĂ©ternitĂ©. Câest pour cela quâils emmagasinent un arsenal nuclĂ©aire leur permettant de faire sauter plusieurs fois la planĂšte si ils le dĂ©sirent. Cela ne les empĂȘchent pas de se prĂ©senter aux yeux de tous, comme des modĂšles de sagesse. Ils ne sont pas Ă une contradiction prĂšs. L'histoire Ă©crite par certains EuropĂ©ens falsificateurs, est analysĂ©e sans concession par le chercheur Jean-Philippe Omotunde de l'institut Africamaat. A la lumiĂšre des analyses du chercheur guadeloupĂ©en l'Origine nĂ©gro-africaine du savoir grec, Ă©ditions MĂ©naibuc, la vĂ©ritable nature du modĂšle eurocentriste apparaĂźt c'est un grand bluff ! africaine La renaissance africaine est en marche. Lâaccession au pouvoir de la majoritĂ© noire en Afrique du Sud, lâinstauration dâune dĂ©mocratie non raciale en AmĂ©rique Ă©lection de Barack Obama sont des Ă©tapes importantes dans le combat pour la libĂ©ration des Kamites dans le monde. La rĂ©volution africaine ne peut ĂȘtre que lâĆuvre des Africains eux-mĂȘmes. RĂ©volution philosophique et politique citons quelques penseurs de la renaissance africaine Doumbi Fakoly, Sylvain Nsapo Kalamba, Jean-Pierre Kaya, Jean-Philippe Omotunde, Ama Mazama, Mubabinge Bilolo. Mais une renaissance africaine pour quoi faire ? Pour bomber le torse et proclamer comme James Brown dans les annĂ©es 70 Je suis noir et je suis fier. » Aujourdâhui, ça serait un peu puĂ©ril non ? Je pense quâil faut connaĂźtre lâhistoire mais surtout sâimprĂ©gner de la spiritualitĂ© de nos ancĂȘtres. Iniouia, grand intendant de Men Nefer. Entre 4000 et 2000 ans avant JĂ©sus Christ rĂ©daction du Livre des Morts des anciens Ă©gyptiens. Ce livre contient notamment, la fameuse Confession NĂ©gative "Salut, dieu grand, Seigneur de VĂ©ritĂ© et de Justice, MaĂźtre puissant ! Voici que j'arrive devant toi ! Laisse-moi donc contempler ta rayonnante beautĂ© ! ...Je n'ai pas causĂ© de souffrance aux hommes. Je n'ai pas usĂ© de violence contre ma parentĂ©, Je n'ai pas substituĂ© l'Injustice Ă la Justice. Je n'ai pas frĂ©quentĂ© les mĂ©chants. Je n'ai pas commis de crimes. Je n'ai pas fait travailler pour moi avec excĂšs. ... je n'ai pas maltraitĂ© mes serviteurs..." On ne va pas la citer entiĂšrement. Au total, il y a ce que l'on peut appeler quarante deux commandements. Une notion du bien et du mal Ă©vidente. Mais quâest-ce que les Africains dâaujourdâhui, Congolais, Gabonais, conservent de lâantique civilisation Ă©gyptienne ? Citons lâĂ©gyptologue congolais ThĂ©ophile Obenga. LE "KA" Ancien Ă©gyptien. "Ka" esprit, pouvoir spirituel. Mbochi Congo. "O-kaa" essence, personnalitĂ©. Sotho Afrique du Sud. "Ka" pouvoir. Fang Gabon. "Ki" force, puissance, pouvoir. Duala Cameroun. "Ka" nature, caractĂšre. Source ThĂ©ophile Obenga Revue scientifique Ankh n°6/7. 12 Notion du bien et du mal Extrait du texte de RenĂ©-Louis Parfait EtilĂ© Africamaat. Le culte d'Osiris fut Ă©tabli Ă Abydos ville d'Egypte, sinon avant, du moins au commencement de la pĂ©riode dynastique. Ce fut une religion constituĂ©e aux temps prĂ©historiques, mais la genĂšse de la lĂ©gende osirienne remonte Ă 4000 ans avant J-C. ... Vers 2000 ans avant J-C, pendant la XIIĂšme dynastie, aprĂšs une importante rĂ©volution sociale, le peuple aspire Ă obtenir une vie heureuse aprĂšs la mort dans les Champs ElysĂ©es du ciel Ă©gyptien. C'est aussi en Egypte qu'apparaĂźt pour la premiĂšre fois ce qu'on appelle aujourd'hui "la pesĂ©e de l'Ăąme"... Le 125Ăšme Chapitre du "Livre des Morts" parle du jugement et de la purification de l'Ăąme... C'est aussi le chapitre de la confession de l'Ăąme, la fameuse "confession nĂ©gative". Le dĂ©funt nie tous les crimes susceptibles d'ĂȘtre accomplis par l'homme. Par la pesĂ©e de l'Ăąme, celui qui prĂ©side le Tribunal, Osiris, Ă©value le poids des pĂ©chĂ©s et le poids des vertus du dĂ©funt. La puissance suprĂȘme a trouvĂ© l'Ăąme pieuse et juste... le dĂ©funt est admis Ă jouir des bonheurs de l'au-delĂ , le coeur des mĂ©chants lui, est jetĂ© en pature Ă Ammout, la dĂ©esse dĂ©vorante, la mangeuse de coeurs. Nul coupable ne peut Ă©chapper Ă son sort. L'Ăąme impure subit un chĂątiment, c'est Ă dire une longue et douloureuse purification. » Que faut-il retenir de cet extrait du commentaire de R-L P. EtilĂ© ? On est frappĂ© devant lâanciennetĂ© de cette conception du tribunal dâoutre-tombe 4000 ans, 2000 ans avant J-C, voilĂ qui donne le vertige. Mais surtout, ce quâil faut retenir câest LA NECESSITE DE RETABLIR LâORDRE OSIRIEN, LâHARMONIE MAĂTIQUE, FACE A LâORDRE INSTABLE, MALEFIQUE, SETHIEN. Pour en savoir plus, il faut lire le texte de lâĂ©gyptologue, Ă©rudit, philosophe, sage et thĂ©ologien kamite Mubabinge Bilolo 13. Hommes et femmes diffĂ©rents et complĂ©mentaires Je suis fatiguĂ© et je nâai pas la force ni le talent pour Ă©crire aujourdâhui un cours poĂšme ou une chronique sur lâhomme et la femme kamites. Et je nâai pas acquis la connaissance qui me permettrait de le faire. Je vais donc citer un aĂźnĂ©, un sage, Doumbi-Fakoly. ⊠la dĂ©esse Sekmet rĂ©git la Force Tranquille qui rappelle celle du lion. ⊠la dĂ©esse Hu distribue la Parole ParlĂ©e et CrĂ©atrice, comme le verbe crĂ©ateur Ă lâinstant de la premiĂšre Fois. ⊠la dĂ©esse Isis, ModĂšle de mĂšre et dâĂ©pouse, dĂ©tient le mystĂšre de la CrĂ©ation et enseigne la Haute Initiation. ⊠la dĂ©esse MaĂąt, veille sur lâHarmonie, la StabilitĂ©, lâEquilibre de la crĂ©ation et lâapplication de la Justice dans les mondes visible et invisible. Ce parti pris de nos AncĂȘtres en faveur des DĂ©esses, donc en faveur de la Femme, procĂšde dâune logique implacable.» Extrait de Les chemins de la MaĂąt, Doumbi-Fakoly, Menaibuc, 2008 ». Doumbi Fakoly est aussi trĂšs lucide sur les conditions psychologiques permettant l'avĂšnement d'une vĂ©ritable Renaissance Africaine Ce nâest quâen se rĂ©appropriant son patrimoine culturel par la rĂ©conciliation avec ses AncĂȘtres et avec lui-mĂȘme que lâAfricain pourra reconquĂ©rir la confiance en soi quâil a perdu dans son refus de sâassumer, et qui seule permet de repousser toujours plus loin les frontiĂšres de lâimpossible. » Doumbi-Fakoly, Afrique la Renaissance, Silex-Nouvelles du Sud, 2000. Il y a presque un an, jâavais Ă©tĂ© fortement intĂ©ressĂ© par les mots dâune femme française, ostĂ©opathe sur les ondes de la chaĂźne de radio FM, ICI ET MAINTENANT, elle disait quâil fallait se tenir droit et regarder la lumiĂšre. Que cela Ă©tait le propre de lâhomme heureux et confiant. Ces propos rejoignent ceux du sage kamite de lâAntiquitĂ©, Ptah Hotep Pour lâĂȘtre rayonnant qui avance, le chemin est construit ». Published by Iterou OgowĂš - dans agano
cheikh anta diop volney et le sphinx